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Traitement de texte si mal connu !

Encore récemment, un ami m’a contacté pour finaliser la gestion de la frappe de se thèse.

Ce moment d’écriture, qui devrait être l’aboutissement d’un long travail de recherche, tourne au capharnaüm !

La plupart des personnes qui rédigent un document long et complexe ne connaissent pas les automatismes offerts par leur logiciel de traitement de texte.

Elles réalisent la frappe « à la main » comme ça vient. Du coup, il ne faut pas s’attendre à ce que la table des matières s’affiche et se mette à jour automatiquement, ni la table des index, ni le changement du corps de texte de Times New Roman à Calibra d’un seul clic souris !

Bref, c’est un peu le mythe de Sisyphe au quotidien !

Dans le catalogue de formations que je propose, le traitement de texte a toute sa place. En quelques heures (5 par exemple), vous utiliserez votre logiciel de texte de façon professionnelle.

La rédaction de votre mémoire, de votre thèse, de votre rapport d’activité deviendra un moment privilégié du plaisir d’écrire.

Mon catalogue de formations : http://espace-formation.education/formations/formation_entierement_distance_v3.pdf

Bien à Vous,

Jacques Cartier

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Intelligence artificielle, intelligence augmentée ?

Nous sommes toutes et tous à l’écoute de ce qui se passe autour de l’intelligence artificielle.

ChatGPT fait partie de nos onglets sur notre navigateur et nous nous exerçons à intervalles réguliers à taper des demandes à cette application.

Nous sommes surpris, bluffés, dubitatifs, étonnés, ahuris, … Les adjectifs sont pléthore.

Bien vite, la question se pose de la bonne utilisation des propositions de ce logiciel dans le cadre de la formation initiale et continue.

Puis-je copier / coller le texte proposé purement et simplement dans les travaux que je rends ? Mais dans ce cas, suis-je dans un contexte de plagiat ?

>>> L’UQAM (Université du Québec à Montréal) met à disposition une plaquette à destination de ses étudiants : https://services-medias.uqam.ca/media/uploads/sites/44/2023/10/18101032/Guide_PersonneEtudiante_UsageResponsableIA.pdf

Ce document peut déjà aider apprenant(e)s, formatrices et formateurs à une première réflexion.

J’en profite pour vous indiquer un ouvrage qui m’aide beaucoup à avancer sur ce sujet :

>>> « L’IA pour la formation » de Lucie Dhorne – Clic Editions.

Lucie Dhorne préfère le terme « intelligence augmentée » à « intelligence artificielle » qui pourrait laisser à penser qu’une intelligence supérieure, cachée dans l’ombre, guide nos pas !

N’oublions pas que l’IA est un domaine de l’informatique.

>>> Définition de l’IA sur le site de la CNIL : https://www.cnil.fr/fr/intelligence-artificielle/intelligence-artificielle-de-quoi-parle-t-on

Bien à Vous,

Jacques Cartier

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S’outiller pour monter un dispositif de formation

Quand je regarde ma carrière dans un rétroviseur dénué de nostalgie, je fais souvent le constat que j’aurais pu donner plus de méthodes et d’outils de travail à mes petits, moyens et grands élèves.

Lors d’une formation récente d’enseignantes et enseignants suisses, il m’a ainsi semblé opportun de leur fournir du « biscuit » sous la forme d’une carte conceptuelle au-travers de laquelle je les invite à utiliser le modèle ADDIE.

Leur mission consiste à passer d’une posture d’enseignant(e) à celle de formateur d’adultes. (Leurs pairs)

Je vous indique le lien vers cette mind map qui se veut être un outil de travail et de réflexion : https://tinyurl.com/yvfbnhab

Bien à Vous,

Jacques Cartier

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DocteurCosmos, CC BY 3.0 <https://creativecommons.org/licenses/by/3.0&gt;, via Wikimedia Commons

Passer le gué vers le digital

Dans ma pratique quotidienne de consultant spécialisé dans l’utilisation du digital en formations initiale et continue, j’observe que parfois, des organismes de formation voudraient que leur pôle de formateurs passe du tout présentiel à l’hybride (présence / distance) comme ça d’un « simple clic ».

C’est aller vite en besogne et ne pas prendre le temps de la réflexion sur les spécificités de l’introduction du digital dans la pratique des formateurs. Je perçois un changement important à opérer dans la professionnalité des acteurs.

On pourrait établir trois catégories de changements :

1. Les aspects techniques

L’hybridité induit l’utilisation d’outils de communication. Par exemple la classe virtuelle (ou visio) qui prend de plus en plus de place dans les dispositifs du fait de son ubiquité. Mais préparer / animer une classe virtuelle est un exercice de style qui ne tolère pas l’approximation. Créer la classe, préparer les contenus, inviter les participants, animer les échanges, concevoir l’évaluation, …

Et puis, il ya les aléas techniques qui peuvent polluer la qualité de la rencontre. Le formateur doit avoir un peu de « bouteille » pour bien mener les choses.

2. Les aspects pédagogiques

Ce n’est pas l’outil qui fait les contenus et qui remplace le rôle pédagogique du formateur. Celui-ci doit se questionner sur la façon dont la classe virtuelle s’inscrit dans le curriculum de formation. Elle vient après un présentiel, après un travail sur un forum à thème. Elle prépare le futur présentiel, les activités individuelles et/ou collaboratives que les participants vont vivre, …

Le formateur doit ainsi inventer de nouvelles façons de travailler, car il n’a pas les apprenants « sous la main » en salle 245 de 9 h à 17 h. Le formateur devient un « formateur chercheur » qui réinvente des pans entiers de sa pédagogie.

En ce qui me concerne, le digital a transformé mon métier d’enseignant. J’étais certainement dans un contexte de routines (1) bien établies en salle de cours. Sur ma plateforme, il m’a fallu écrire les objectifs de la formation, les consignes de travail à réaliser, imaginer les activités à distance, concevoir les évaluations, assurer le suivi des apprenants, …

3. L’identité numérique

Le formateur digital travaille en ligne, parfois entièrement à distance. Il se construit une identité numérique spécifique. Par exemple, il s’achète un nom de domaine qui qualifie son statut sur le Toile, il fait attention à ne pas mélanger en ligne vie privée et vie professionnelle, il se préoccupe de l’utilisation légale des ressources qu’il met à la disposition de ses apprenants.

Ce dernier point est très sensible, car la plupart des personnes que je rencontre dans mes stages ne se préoccupent pas (du tout) de la légalité des contenus glanés ici et là sur Internet. Ce n’est pas une critique bas de gamme que je fais là. Je crois que les personnes pensent que le Toile est un lieu commun partagé en toute liberté, sorte d’auberge espagnole. Combien de formateurs scannent des pages d’ouvrages, intègrent des images trouvées sur des sites, publient des morceaux choisis sans citer la source, frôlent le plagiat !

J’essaie de les sensibiliser sur ce sujet en leur mettant à disposition un parcours de formation que j’ai écrit sur l’utilisation des licences Creative Commons http://espace-formation.education/parcours/

Bien à Vous,

Jacques Cartier

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Il est souvent demandé à un enseignant ou un formateur de changer sa pratique. Cela avec plus ou moins d’instance, de respect et d’empathie. Parfois la demande ressemble à une injonction…

Mais est-ce si simple de sortir de sa zone de confort acquise par l’expérience d’années d’exercice de la fonction ?

Bernadette Charlier s’interroge sur le changement de pratique à opérer. Elle le voit comme un processus à la fois personnel et institutionnel :

« Lorsque je parle de changement de pratique d’enseignement ou de formation, j’évoque les changements mis en œuvre par un enseignant ou un formateur au moment de la planification, pendant les cours ou les formations ou après ceux-ci. Il peut concerner, ses routines, ses décisions de planification ou ses connaissances, de même que : les actions mises en œuvre, les interactions avec les pairs et la réflexion exercée sur l’action. L’ensemble de ces éléments constitue ce que j’appelle sa pratique d’enseignement ou de formation. En outre, il n’y a changement que par rapport à une situation antérieure. C’est l’enseignant ou le formateur lui-même qui reconnaît le changement. Si une telle proposition peut s’avérer théoriquement cohérente, elle mérite d’être discutée. En effet, elle suppose, au moins implicitement, la nécessité du changement. Il faut changer. C’est la « tyrannie du changement » même si, dans ce cas, l’enseignant pourrait être considéré comme son propre tyran. Ce qui avec les TIC n’est pas tout à fait le cas tant la pression médiatique, politique et économique est forte.

Ainsi, si changer est nécessaire, résister l’est sans doute tout autant. L’un ne va pas sans l’autre. Pour changer une pratique pédagogique, il faut d’abord que celle-ci existe, qu’elle ait été construite patiemment au cours des années, qu’elle soit stabilisée. L’enseignant doit pouvoir s’appuyer sur cette pratique s’il souhaite la changer. Il doit pouvoir la reconnaître pour éventuellement la mettre en cause. Il doit pouvoir y fonder son projet. Échapper à cette tyrannie consisterait peut-être à comprendre le changement de pratique d’enseignement ou de formation comme un processus inscrit à la fois dans une histoire individuelle et dans un contexte institutionnel. Un processus vécu différemment par chaque enseignant. Un processus à double face articulant résistance et changement. »

Bernadette Charlier – Professeure responsable du Centre de Didactique Universitaire et Nouvelles Technologies et Enseignement – Université de Fribourg (Suisse) – https://www.unifr.ch/didactic/fr/centre/equipe/charlier.html

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Jacques Cartier

Consultant expert international – espace-formation.euwww.jacques-cartier.fr

Le formateur au centre du disposif ?

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« L’apprenant au centre du dispositif » : c’est une expression consacrée pour définir une qualité première d’un dispositif de formation performant.

Et si, pour une fois, pour un court instant, on mettait en avant « Le formateur au centre dispositif » ?

Les organismes de formation, pour lesquels je travaille sous forme de missions, me disent que les appels d’offres qu’ils reçoivent stipulent que les formations à assurer doivent de plus en plus proposer une multi modalité, de la présence / distance et du tout-distance.

Mais quid de la mise en place de ce nouveau paradigme qui inclut une part non négligeable de digital ? La présence d’une plateforme de formation, la création de ressources multimédia, l’utilisation d’outils de communication comme la classe virtuelle, …

Et il ne faut pas se limiter aux aspects techniques, car les aspects pédagogiques sont encore plus complexes à imaginer : quelles activités en ligne, que proposer aux apprenants, comment communiquer, comment accompagner, … ?

Parfois, je trouve que les organismes de formation ne prennent pas suffisamment conscience qu’il est important de former leur pôle de formateurs à ces nouveaux défis. Ils ont tendance à laisser venir, à imaginer que les formateurs vont s’y mettre naturellement, car c’est leur métier après tout ! Attention aussi à ne pas oublier les formateurs occasionnels !

Oui, mais ne s’agit-il pas d’une nouvelle professionnalité qu’il est impératif qu’ils acquièrent et non pas seulement d’une dextérité particulière à utiliser des outils numériques ?

Ils doivent accompagner leurs apprenants lors des phases à distance. Ils deviennent ainsi des tuteurs à part entière. Ce nouveau rôle ne s’improvise pas. Le bon sens n’est pas toujours synonyme de réussite loin de là !

Il est demandé aux formateurs de créer des ressources (textes, images, vidéos, …) à déposer sur une plateforme. Mais avec quels outils de scénarisation ? On ne peut pas se contenter de déposer des fichiers .PDF même si leurs contenus sont très pertinents. Des liens vers des sites, des images, des vidéos sont devenus des médias incontournables sur le web 2.0. Alors, quels outils fournir aux formateurs pour les aider à scénariser ces ressources enrichies ? Un ordinateur portable et une connexion Internet ne suffisent pas !

Et ces ressources, sont-elles libres de droits ? Ce sujet est très sensible. La quasi-totalité des formateurs (et des enseignants) dont j’ai la charge ne se soucie pas suffisamment du droit d’auteur. Comme si la Toile était un espace ouvert à tous vents, les ressources présentes disponibles d’un simple clic, auberge espagnole de contenus multiples et variés !

Si un formateur produit un parcours de formation de qualité pour l’organisme dont il dépend et qu’il s’avère que nombre de documents ne sont pas libres de droit, cela peut devenir fâcheux pour les responsables du dispositif. L’image de marque risque d’être flétrie, l’amende éventuelle très « salée ».

Il est demandé aussi à mes collègues formateurs d’utiliser la classe virtuelle pour travailler en synchrone avec des apprenants disséminés géographiquement. Là encore, il faut un peu de « bouteille » pour animer ce genre de réunions. Comment cette classe s’intègre-t-elle dans le curriculum de formation, quid de sa création, de son animation, de la place des apprenants dans son déroulement ?

Vous le voyez, laisser les formateurs un peu livrés à eux-mêmes n’est pas un service à leur rendre. L’organisme de formation doit prendre en main la gestion d’une nouvelle professionnalisation de ses acteurs qui sont sur le terrain en lien direct avec les apprenants.

Ils ne sont surtout pas la cinquième roue de la charrette ou de petites mains. Ils sont au centre du dispositif !

Jacques Cartier

Consultant expert international – espace-formation.euwww.jacques-cartier.fr

Les ressources utilisées par les apprenants sont parfois un souci majeur. En effet, le droit d’auteur n’est pas respecté et entraîne une non validation du travail réalisé.

C’est souvent par ignorance que cela se produit, comme si la Toile était un lieu ouvert, une sorte d’auberge espagnole de contenus.

J’ai ainsi écrit un parcours de formation que je mets à votre disposition, et qui, je l’espère, devrait aider à clarifier la problématique.

Lien : http://www.espace-formation.education/parcours/

J’ai l’ai rédigé en utilisant le logiciel auteur Exelearning – http://www.exelearning.net

Bien à Vous,

Jacques Cartier – www.jacques-cartier.fr – www.espace-formation.eu

Formateur par monts et par vaux (17)

Publié: 1 décembre 2023 dans Formateur

Image dans le domaine public : source : https://pxhere.com/fr/photo/780633?utm_content=shareClip&utm_medium=referral&utm_source=pxhere

En cherchant une définition « Formateur d’adultes », j’ai fini par utiliser ChatGPT.

J’ai demandé au logiciel d’écrire en mode « ado ».

Voici sa réponse :

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Yo, le formateur d’adultes, c’est un genre de coach pour les grands, tu vois ? Son taf, c’est de créer des trucs cool pour apprendre aux adultes, que ce soit pour le taf ou juste pour le fun.

Il doit penser à comment rendre les cours intéressants, en tenant compte de ce que les gens connaissent déjà. Et puis, il se sert de plein de méthodes différentes pour enseigner, comme des discussions ou des trucs interactifs. L’idée, c’est que ça soit pas trop barbant et que tout le monde puisse choper quelque chose.

En plus, il jette un œil à comment ça se passe pendant les cours, voir si les gens pigent bien, et il ajuste sa méthode si besoin. Il peut aussi utiliser des trucs tech, genre des vidéos ou des apps, pour rendre les cours plus fun.

En gros, le formateur d’adultes, c’est un pote qui t’aide à découvrir des trucs cools, que ce soit pour briller au taf ou juste parce que t’as envie d’apprendre un truc nouveau.

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Intéressant !

Bien à Vous,

Jacques Cartier – www.jacques-cartier.frwww.espace-formation.eu

En fait, je suis un formateur saltimbanque !

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Définition du mot sur Wikipédia :

« Un saltimbanque est un artiste du spectacle de rue ( spectacle vivant ). Il fait toutes sortes de tours et joue de l’étonnement pour amuser le public dans les foires. Les troupes d’artistes se produisaient de ville en ville sous l’Ancien Régime. Les prestations étaient diverses, du montreur d’ours aux dramaturges itinérants qui allaient donner à la littérature française ses lettres de noblesse. »

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saltimbanque

J’ai le sentiment de jouer ce rôle dans mon quotidien de formateur. Je fais des tours pour captiver mes apprenants, le pitre pour donner du piment à une situation pédagogique. Le clown, un peu, faut pas trop exagérer…

Je suis nomade et vais de ville en ville, de classe virtuelle en classe virtuelle pour animer mes formations. Je fais un peu de spectacle de rue en faisant participer mon public, pour qu’il s’investisse dans sa propre formation. Je ne forme pas les gens, ce sont eux qui se forment. Facile à dire, pas toujours facile à faire !

Oui, je ne parle pas en alexandrins comme un comédien de la tragédie classique, mais je soigne mon langage en l’adaptant à mon public. Imaginez que je présente les contenus de la formation en alexandrins et que personne ne le remarque. Je pense à Gérard Depardieu dans le film « Cyrano de Bergerac » de Jean-Paul Rappeneau !

Je fais du spectacle vivant, car je joue sur des registres d’expression artistiques comme le théâtre, les arts du cirque, les arts de la rue, les arts de la marionnette, …

Je vous donne un exemple : lorsque j’ai le sentiment que l’attention de mon groupe chute, je chante la chanson « Ainsi font, font, font » en bougeant mes mains au-dessus de ma tête comme si je tenais des marionnettes. Je vous assure que vous ramenez le public à sa tâche !

Certes, cela ne plaît pas à tout le monde. Une personne est restée une fois dans la salle pour s’adresser à moi en privé. Elle m’a dit avoir été choquée par ma prestation du « Ainsi font, font, font ». Je me suis dit alors que la liberté pédagogique du formateur est ténue. Peut-être du fait que des personnes ont une représentation très normée de son rôle : la personne qui sait, qui va m’enseigner.

J’ai envie d’assumer ce rôle d’artiste que le formateur peut endosser. Ne pas se prendre trop au sérieux tout en étant très vigilant pour que les apprentissages se fassent. Un peu « fou du roi », mais pas si fou, car le fou du roi est souvent son conseiller.

Et la danse ? Je vous sens tendus tout d’un coup. Le voilà qui va danser au milieu de la salle de formation. Bon d’accord, peut-être pas jusque-là. Quoique, j’ai le sentiment parfois quand je présente une notion avec un diaporama de faire des pas de deux avec une cavalière imaginaire pour capter l’attention de mon auditoire.

Ça m’est arrivé de me balader dans l’amphithéâtre de mon université avec un micro-cravate. Je faisais des sauts de cabri dans les allées de la salle devant mes étudiants un peu surpris !

C’est vrai que je suis un peu cabotin !

Ça me plaît bien !

Jacques Cartier – www.jacques-cartier.fr – www.espace-formation.eu

Récemment, je suis intervenu à Paris dans le cadre des 15 èmes journées de la e-formation sur la thématique « Tutorat et évaluation des apprentissages ».

Voici le lien vers cette conférence : https://www.canal-u.tv/chaines/enteaixval/conference-de-jacques-cartier-tutorat-et-evaluation-des-apprentissages

Bon visionnement !

Bien à Vous,

Jacques Cartier – mentor, mentor évaluateur, jury, concepteur de parcours chez OpenClassrooms – OpenClassrooms.com

Site personnel : www.jacques-cartier.fr – Blogue : www.espace-formation.org – Plateforme de formation : www.espace-formation.eu